Historique

La 51^ème édi­tion du fes­ti­val s’ouvre en pré­sence de la comé­dienne Pame­la Ander­son, icône de la pop culture, et de la dan­seuse étoile Marie-Agnès Gil­lot qui fait une per­for­mance épous­tou­flante sur la scène du CID.

La jeune comé­dienne Zoey Deutch reçoit un Deau­ville Talent Award, tan­dis que Kim Novak, la der­nière grande star gla­mour de l’âge d’or hol­ly­woo­dien, revient une seconde fois à Deau­ville et reçoit une stan­ding ova­tion lors de la céré­mo­nie en son hon­neur. Le Fes­ti­val rend éga­le­ment un hom­mage post­hume à l’immense acteur Paul New­man, éga­le­ment réa­li­sa­teur, pilote et phi­lan­thrope infatigable.

Le comé­dien et réa­li­sa­teur Joel Edge­ton est aus­si pré­sent sur les planches pour rece­voir un Deau­ville Talent Award et pré­sen­ter le beau film lyrique Train Dreams de Clint Bentley.

Kris­ten Ste­wart, l’une des plus talen­tueuses actrice de sa géné­ra­tion, pré­sente son pre­mier film en tant que réa­li­sa­trice, The Chro­no­lo­gy of Water, et parle des films fran­çais qui l’ont ins­pi­ré lors d’une ren­contre pas­sion­née et passionnante.

Le fes­ti­val met aus­si à l’honneur Alice Guy, une pion­nière du ciné­ma lais­sée trop long­temps dans l’ombre, à tra­vers une rétros­pec­tive de plu­sieurs de ses courts métrages amé­ri­cains et, pour la pre­mière année sont orga­ni­sés les Deau­ville Indus­try Encoun­ters, une jour­née dédiée aux pro­fes­sion­nels fran­çais et amé­ri­cains du ciné­ma qui ont pu échan­ger lors de workshops.

Enfin, la pré­si­dente Gol­shif­teh Fara­ha­ni et ses jurés décernent le Grand Prix au pre­mier long métrage The Plague de Char­lie Polin­ger, un récit ini­tia­tique tein­té de fantastique.